Ça y est nous quittons le désert du Damaraland pour regagner
la côte atlantique, et sa ville fétiche, au nom imprononçable, Swakopmund.
Après un départ retardé (Etienne a saigné du nez de façon
assez conséquente,notamment dû à l’extrême sécheresse de l’air), nous voilà
sur la piste ….
Sur les 350 km à faire, uniquement 50 se feront sur le
bitume et 70 sur un mélange à base de sel ( un peu glissant )… Bref de quoi ne pas
m’endormir !
Nous traversons ces étendues de rocailles d’abord, puis de
sable gris, puis de sable ocre , puis …. 60 km d’une piste toute droite avant d’atteindre
l’océan. Surtout ne pas quitter la piste des yeux car les ornières, trous etc
ne manquent pas … La vigilance est vraiment de rigueur.
La route est splendide à la fois dans le désert et sur la côte.
Nous rejoignons notre chambre d’hôtes située à quelques
encablures du centre ville. Nous sommes accueillis de façon très chaleureuse
par la propriétaire, qui nous donne plein de renseignements, nous réserve le
resto pour ce soir (du poisson après une semaine d’antilopes diverses et
variées, ça fait du bien).
Avec Romane, petite virée visite et shopping : la ville
est jolie mais un peu bizarre. Tout est écrit en allemand, les maisons type
californienne abondent mais toutes enceintes de murs plus hauts les uns que les
autres, les magasins son protégés pour certains par des grilles … L’apartheid a
laissé des traces …
En tant que bon français, nous étions ravis de passer une soirée au restaurant sur le port : poissons à gogo excellent ...
Mais quel froid ... 17/18° dans la chambre malgré le feu dans la cheminée ...
On est bien sous la couette !!!
En tant que bon français, nous étions ravis de passer une soirée au restaurant sur le port : poissons à gogo excellent ...
Mais quel froid ... 17/18° dans la chambre malgré le feu dans la cheminée ...
On est bien sous la couette !!!
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